Nous relayons une information publiée par la Surfrider 64. L’Université Agricole et Technologique de Tokyo ( TUAT ) a mis au point un programme de détection des pollutions organiques permanentes utilisant les larmes de sirène (petites pastilles plastiques qu’on retrouve souvent sur la laisse de mer appelées aussi Mermead Tears) qui accumulent naturellement et conservent les polluants présents dans l’eau.

Larmes de sirènes sur le plage de Contis-Plage

Larmes de sirènes sur le plage de Contis-Plage

Au travers du programme  » International Pellet Watch  » , l’Université cherche à collecter des larmes de sirènes d’origines différentes à travers le monde, afin de les analyser et d’établir une carte des pollutions.

Selon l’article publié sur le site internet de la Surfrider 64, vous pouvez pour apporter votre contribution à cette étude, expédier les larmes de sirènes recueillies sur la plage à l’attention de l’Université. Pour plus d’information, consultez l’article   » Aidez la science, envoyez des larmes de sirène au Japon  » et « Larmes de sirène ( Mermaid Tears )  » sur le site officiel de l’antenne 64 de la Surfrider Foundation.